Le ravissement
7
Le commandant positionna sa main en pince et il empoigna les joues de la fille et il fit faire à la fille ainsi empoignée plusieurs pas à genoux puis il approcha son visage de celui de la fille et il parla a la fille dans les yeux et, même s’il ne pensait pas qu’elle les comprît, il lui dit des mots infamants et durs qui firent beaucoup ricaner les autres hommes et la fille tenta d’éviter son regard mais il secoua sèchement plusieurs fois le visage de la fille, gourmandant pour ainsi dire la bouche de la fille et il réclama et il obtint l’attention de la fille et, dans la position à genoux où elle se trouvait et du fait de sa bouche bridée, la fille sembla affligée d’un très grand et ridicule strabisme convergent, puis le commandant, quand il eut durablement capté le regard de la fille, rassembla de la salive et il la cracha sur le visage de la fille puis il relâcha les joues de la fille puis il la souffleta à nouveau gratuitement avec son gantelet de maille puis il se libéra du gantelet en le laissant négligemment tomber au sol où un homme de la troupe vint prestement le ramasser pour le poser à l’écart, et, comme dans le geste d’une femme qui trousse le devant de sa jupe, le commandant releva le bas de son haubert puis il écarta bien la fente sur le devant de ses chausses puis il entr’ouvrit sa brayette et il en sortit un vit maigrement bandé puis il entama le branle du vit afin de le faire bander davantage et, à cette fin, il troussa la peau brune du prépuce sur le gland violet et le gland, qui sans doute depuis beaucoup de temps n’avait point été décalotté ni lavé, laissa voir le film blanc de matières organiques fermentées dont il était enduit, surtout à sa base derrière l’ourlet circulaire de chairs, et la collection de matières, avec les premières gouttes de liqueur lubrifiante que le méat sécréta, fit une crème visqueuse que la main du commandant animait et agitait, pour ainsi dire barattait, et dont la fille, parce que le vit était seulement à quelques pouces de son visage, percevait en plein l’odeur répugnante, presque putride, puis le commandant, quand son vit fu complètement et durement bandé, empoigna, avec la main qui ne branlait pas le vit, la nuque de la fille et il fit brusquement s’approcher davantage le visage de la fille du vit turgescent et puant et la fille tenta de se délivrer et elle eut un geste vif de recul avec la tête mais le commandant, qui s’était attendu à ce mouvement de rétractation, le contint et il l’empêcha et il plaça son gland malpropre et nauséabond sur la bouche de la fille et la fille eut un geste de dégoût et de refus et elle fit avec la tête un geste de dénégation, comme si, avec ce geste de nutation elle refusait non seulement l’acte exécrable mais pareillement le principe même de l’acte, et la fille maintint sa bouche obstinément close en ronflant de dégout et le commandant dégaina la grande et lourde épée qu’il portait au côté et il en donna une claque violente sur les fesses de la fille avec le plat et la fille clama un cri bref et le commandant profita que la bouche de la fille s’entr’ouvît pour fourrer son vit bandé dedans en même temps qu’il retira le plat de l’épée, des fesses pour en placer un des tranchants sur le cou de la fille, à l’emplacement d’une jugulaire et, ainsi, sans proférer aucune parole, signifier à la fille récalcitrante que, sous peine de mort, elle devait suspendre toute résistance et servilement obtempérer et qu’elle ne devait pas retirer sa bouche du vit ni porter, en quelque manière que ce fût, atteinte à l’intégrité du vit, et la fille cessa de se révolter et de se débattre et le commandant entreprit de faire mouvoir impudiquement son bassin et de branler directement son vit dans la bouche de la fille dont il avait obtenu, par menace, la parfaite inertie et sans doute le commandant vivait-il depuis bien des jours dans la continence sexuelle parce qu’après le court temps d’un va-et-vient de faible amplitude, il n’y tint déjà plus et il se cabra et il se tétanisa et il eut un bref cri indistinctement articulé et il se répandit en deux ou trois spasmes dans la bouche de la fille asservie qui, une ultime fois, tenta de retirer sa bouche du vit et le commandant, cette fois-ci, le lui permit et il retira son épée du cou de la fille mais, au moment où la fille enlevait la bouche du vit et tandis que le commandant pressentait et qu’il anticipait qu’elle voudrait en cracher le contenu, il se pencha sur la fille et, comme auparavant, il prit la bouche de la fille en étau avec les doigts placés en pince et il planta un regard impitoyable dans celui fuyant de la fille et il ne retira pas son regard avant que la fille, dans un irrépressible geste réflexe et dans un spasme de dégoût, eût dégluti l’abject contenu de sa bouche, qui était le mélange de semence avec les immondes résidus de matières que le vit avait possédés sous le prépuce négligé et que la fille avait décapé et, aussi, avec le propre sang de la fille issu de sa lèvre éclatée, et qui avait fait dans sa bouche, avant qu’elle ne l’ingurgitât, une glu pourrie et salée au goût pour la fille et rose et bulleuse à la vue partielle du commandant pendant qu’il bridait, la bouche de la fille, et dont la fille tenta donc de retarder le plus possible l’ingestion mais à laquelle elle dut pourtant se résoudre.
8
Ce fut seulement après qu’elle eut dégluti que le commandant libéra la fille et, tout de suite, la fille se coucha au sol envahie de dégoûtement et prise de haut-le-cœur, comme profondément malade, comme si elle avait ingéré non un fluide séminal mais un fluide pesticide, une substance mortifère, et la fille tenta, sous les railleries des hommes, de se faire vomir et, à cette fin, elle plaça les deux doigts d’une main dans sa bouche et elle creusa son ventre et, avec l’autre main qu’elle crispa en poing, elle appuya sur son ventre creux tandis que son poing remontait vers le diaphragme mais le commandant l’en empêcha en lui assénant, avec le plat de l’épée, un violent coup sur le dos en guise d’avertissement et la fille cessa toute autre tentative de se faire rendre mais elle resta avec le buste couché sur le sol comme en proie à, un puissant malaise, comme victime d’un poison émétique qui ne faisait pas encore pleinement effet sur elle, seulement affectée de nausées inaugurales, des prémices d’une hémorragie interne et mortelle, et un autre homme s’avança vers elle et c’était un homme qui était demeuré assis près du feu jusqu’alors, à la différence de tous les autres réunis en cercle derrière le commandant et qui avaient entrepris de sortir leur vit de dessous leur haubert et leurs braies et de le branler afin qu’il fût bien bandé pour le moment où leur tour viendrait de faire usage de la fille, et cet homme était resté remarquablement discret et comme détaché de la situation, et l’homme avait de longs cheveux bouclés et grisonnants et, pareillement, sa barbe était bouclée et grisonnante, et son visage était mince et allongé avec un grand nez maigre, et son regard doux et très légèrement bigle était celui d’un clerc, sans doute le scribe de la troupe parce que l’homme possédait une tache d’encre sur la dernière phalange à l’intérieur de l’index et du majeur de sa main droite, de celles qui sont créées par l’habitude de manier la plume, et le scribe avait de longues jambes maigres et souples qu’il avait allongées devant lui et croisées l’une sur l’autre et il avait posé les deux mains à plat paume sur le sol à l’arrière afin de faire usage des bras comme de haubans porteurs pour son buste qu’il avait incliné vers l’arrière et, dans cette attitude, il avait semblé un homme qui se délasse au sommet d’une colline pendant la halte d’une longue flânerie et, pendant que le commandant avait abusé de la fille, il avait regardé dans le vide devant lui avec un air rêveur mais, quand son tour fut venu, il eut un petit hochement de tête en qu’il était bien présent et prêt à agir et il redressa son buste et il libéra ainsi les appuis de ses mains et il frotta ses deux mains l’une contre l’autre, comme pour chasser des brins d’herbe collées sur les paumes, mais c’était plutôt un geste d’excitation et de contentement devant l’action à venir parce que la place où il était assis était un plan rocheux libre de pelouse.
9
Après qu’il eut tranquillement enlevé la jambe du dessus de la jambe du dessous, le scribe se mit en station debout, exécutant tous ces gestes avec beaucoup de nonchalance et de désinvolture, puis il alla vers la fille et il se pencha étrangement et souplement sur elle en l’empoignant par la chevelure comme pour lui dire gentiment quelques mots à l’oreille et il la fit se redresser et il la fit se remettre sur les genoux et, par la même succession de gestes que le commandant, il sortit son vit de sous les braies, mais son vit à lui était déjà pleinement bandé, et il le plaça directement dans la bouche de la fille qui, cette fois, obtempéra sans résistance et le scribe entama un long va-et-vient dans la bouche de la fille qu’il continuait de maintenir empoignée par la chevelure et, après qu’il eut pissé sa semence, il obligea la fille, comme le commandant tout à l’heure, à avaler l’éjaculat et, à cette fin, et toujours pareillement que le commandant, il empêcha la fille de le recracher puis de le régurgiter comme elle eut à nouveau la tentation de le faire et, pour railler la fille, il la questionna doucement sur son refus d’avaler prestement l’exquise liqueur dont il venait de lui faire généreusement l’offrande et dont il vanta outrageusement la vertu stomacale, ce qui fit beaucoup s’esclaffer et s’ébaudir les autres hommes, puis un autre homme vint et il plaça son vit bandé dans la bouche de la fille dont la muqueuse labiale, à force d’usage, était devenue turgescente, phénomène spontané et naturel et hors du contrôle de la fille et que le troisième homme observa et qu’il fit remarquer aux autres et que tous interprétèrent comme le signe évident de l’excitation de la fille et la preuve manifeste qu’elle était satisfaite du sort qu’ils lui réservaient et du plaisir dévergondé qu’elle y prenait et les hommes rirent à nouveau mais leurs rires, à la différence de tout à l’heure ; quand ils avaient vu la fille prise de nausées impuissantes, étaient maintenant salaces plutôt que cruels et l’homme qui avait maintenant son vit dans la bouche de la fille s’abstint de tout mouvement et il lui demanda d’aller et venir avec la bouche sur son vit bandé, ce à quoi la fille obéit avec un empressement en apparence servile, ce qui fit de nouveau rire les hommes avec salacité puis, quand elle eut obtenu que l’homme éjaculât, la fille avala spontanément la semence et les messagers rirent beaucoup de cet acte qu’ils jugèrent turpe au plus haut degré et ce fut de nouveau avec cruauté, puis chacun des messagers de la troupe s’approcha de la fille, sans doute selon un ordre de hiérarchie et de préséance précis et pareillement avec chacun s’exécuta la fille et pareillement le colosse s’avança et c’était vraiment un homme très grand et très large et il était tête nue et il avait une longue et luxuriante chevelure frisée et rousse, presque rouge, et il était atteint d’une calvitie à l’exact sommet du crâne qui était visible maintenant: qu’il ne portait plus le heaume et que le camail était rabattu, et la calvitie avait tout l’aspect d’une tonsure et, avec cette tonsure, le colosse semblait un moine soldat et pareillement rousse et frisée était sa barbe et le visage du colosse était rougeaud et il possédait d’infimes petites plaies à l’endroit où des varicosités qui parsemaient les joues et les ailes du nez avaient éclaté et la petite quantité de sang répandu avait coagulé en petites croûtes, à moins que ce ne fussent d’infimes lésions de grattage qui eussent trahi le caractère empreint de nervosité de cet homme pourtant immense et épais et d’apparence placide, et le regard du colosse était atteint de strabisme divergent et il était fuyant et la cornée d’un de ses yeux possédait une tache sombre, une nubécule fauve, qui en surcroît de son défaut de direction, donnait au regard du colosse un aspect hautement inquiétant et, quand son tour fut venu, le colosse se troubla beaucoup et son visage rubicond s’empourpra davantage encore et des exanthèmes apparurent spontanément sur son front et pareillement sur les ailes de son nez, et pareillement avec lui fit la fille mais le garçon, qui eût dû fermer le ban resta assis et tête basse et tous ou l’oublièrent.
10
Quand. tous eurent pissé leur semence dans la bouche de la fille et qu’elle l’eut absorbée, le commandant s’approcha à nouveau de la fille et il claqua les fesses et le dos de la fille avec le plat de son épée et, par l’effet de successifs inconforts et subséquemment de mouvements de retrait reflexe du corps, il la violenta pour la faire se placer à quatre pattes sur le sol puis il appuya une botte sur les lombaires flexibles de la fille afin qu’elle se cambrât outrageusement et qu’elle exhibât davantage son sexe puis il releva le bas de son haubert et il défit la ceinture qui retenait ses chausses et il défit le cordon de ses braies et il laissa tomber les chausses et les braies à ses pieds puis il releva le devant de son haubert tandis que l’arrière tombait ridiculement sur ses cuisses, comme la chainse de nuit d’une bonne femme, puis il s’agenouilla derrière la fille et il entreprit de la pénétrer et il le fit difficultueusement parce que le pertuis de la fille était étroit et resté vierge jusqu’alors et, de surcroît, la fille violentée refusait l’accès à l’homme, la fille se montrait rétive et le commandant lui talocha plusieurs fois le crâne afin de l’enjoindre à davantage d’acceptation et la fille tenta de relâcher son orifice mais, comme en dépit d’elle-même, elle resta éminemment contractée et le commandant choisit d’ignorer et de braver cette dyspareunie et de pénétrer la fille par effraction, même si cela diminuerait son plaisir, et il causa dans le bas-ventre de la fille une grande déchirure et une grande brûlure et une vive douleur et la fille eut un cri terrible et bref et les bras sur lesquels elle prenait appui flanchèrent et son buste chut sur le sol à cet endroit de la périphérie du feu que les hommes avaient choisi pour le viol et qui était moussu et la fille posa délicatement une joue sur le sol moussu et elle se laissa désormais violer sans résistance, veillant hautement à ne pas empêcher ou contrarier les mouvements de l’homme ce qui aurait ravivé sa douleur, et le commandant avait posé le devant de son haubert sur les reins creux et frêles de la fille et, pour mieux maintenir le pan de mailles sur les reins de la fille, il avait posé ses deux mains sur le pan de maille et, par un mouvement de va-et-vient du bassin, qu’il fit lent et profond afin de montrer à la fille et aussi aux autres hommes et subordonnés qu’il prenait tranquillement possession d’elle, il se porta au sommet du plaisir et l’arrière du haubert, pendant le temps du va-et-vient, venait frapper mécaniquement et dans un léger cliquetis l’arrière des cuisses grasses et blanches de l’homme puis, quand il eut pissé sa semence dans le pertuis blessé de la fille, mais ce fut moins rapidement qu’il éjacula cette fois parce que le premier plaisir qu’il avait pris dans la bouche de la fille avait émoussé son ardeur, le commandant se retira de la fille et il se releva et il maintint soulevé le devant du haubert et il observa son vit encore turgescent qui était maculé de mucilage et de sang puis il se pencha sur le dos de la fille et il empoigna la chevelure de la fille et il tira dessus et il fit se relever la fille à moitié et il la fit se tourner et se mettre à genoux devant lui, à ses pieds, et le visage de la fille se retrouva désormais tout près du vit souillé, et le commandant, avec sa main libre, prit le vit souillé et il le torcha sur les joues de la fille dont l’une était striée de la marque des brins de mousse qui avaient fait pression sur elle pendant le temps où la fille l’avait tenue posée au sol puis le commandant, tandis qu’il empoignait la chevelure de la fille plus fermement encore afin de prévenir toute tentative d’évitement, enfourna son vit brièvement torché dans la bouche de la fille et l’obligea à davantage nettoyer son vit puis le commandant libéra négligemment la fille et il s’éloigna de la fille d’une marche involontairement empêchée, parce que ses pas étaient raccourcis et gênés par ses braies et ses chausses rabaissées aux pieds, mais avec la mimique volontaire d’un grand dédain sur le visage et, avec cette morgue semblant affichée pour contrebalancer le ridicule de son déplacement, il reprit sa place au devant du cercle.
11
Chacun des autres hommes, toujours dans le même ordre de préséance, sortit du cercle pour pénétrer la fille, et le garçon prit son tour cette fois-ci parce que le commandant qui le vit rester à 1’écart lui dit d’approcher et il lui dit de faire tomber ses chausses, action qui n’était pas difficile à réaliser fit sarcastiquement remarquer le scribe, ce qui fit s’esclaffer tous les hommes, et le commandant poussa le garçon vers la fille mais le garçon, outre qu’il n’avait visiblement jamais pénétré une femme, était très impressionné par la situation et il n’était capable de rien et il se retrouva décontenancé et malhabile à genoux derrière la fille et son érection était incomplète parce qu’empêché par la gêne extrême qu’il éprouvait et il tenta de faire entrer son vit encore mou dans le sexe de la fille chose impossible et ridicule qui fit beaucoup rire les autres hommes et lancer des quolibets, et la fille passa une main entre ses jambes par-dessous son ventre, dans une prise pour ainsi dire inversée, et elle empoigna le vit mou et recroquevillé du garçon et elle le branla et le vit, malgré la gêne et la honte du garçon et presqu’automatiquement et comme en dépit du garçon, parce qu’il était dans un jeune âge où un simple attouchement pouvait créer une érection quasi réflexe, devint turgescent et dur et la fille, quand le vit fut suffisamment durci, plaça le vit devant son pertuis et elle fit rentrer en elle le garçon qui n’eut qu’un mouvement de reins à faire pour s’installer définitivement dans la fille et, au moment où il fit cet unique mouvement de bassin, le garçon se répandit dans la fille, pour ainsi dire en dépit de sa volonté, et il eut un cri de plaisir surpris et, encore une fois, il déclencha l’hilarité des hommes qui se moquèrent de lui puis le commandant se présenta à nouveau derrière la fille et il branla son vit afin de le durcir, ce qui prit beaucoup de temps parce que son ardeur était déjà beaucoup entamée et ce n’était déjà plus pour assouvir un désir que le commandant poursuivait le viol mais par pur principe, pour prendre définitivement possession de la fille, pour faire effraction dans toutes les parties intimes de la fille, pour mieux avilir la fille, pour mieux asservir la fille, et il enfourna son vit dans le pertuis déjà utilisé de la fille à seule fin de l’enduire de sang et de mucilage gluants puis, utilisant l’effet lubrifiant de l’ignoble mélange et à nouveau par force, il pénétra la fille par l’autre pertuis, par le pertuis contre nature, et le commandant fit des allers et retours besogneux et très longs puis il lâcha laborieusement sa semence dans le pertuis contre nature puis il fit nettoyer à la fille, avec sa bouche, le vit ignominieusement parfumé d’excréments et, tandis qu’elle s’adonnait à cet acte rebutant, la fille fut de nouveau frappée de nausées puis le commandant se pencha vers ses pieds et il remonta ses braies et il refit le nœud du cordon des braies à ses hanches puis il se pencha à nouveau et il remonta ses chausses et il boucla la ceinture de ses chausses, tout ceci posément, puis il s’écarta de la fille avec désintérêt puis le scribe s’avança et jouit dans l’orifice contre nature de la fille et pareillement les autres et pareillement 1e colosse mais il fut accepté que le garçon béjaune restât de nouveau à l’écart.
Marc Graciano, Une forêt profonde et bleue, Paris, Corti, 2015, pp.64-74